Couteau de poche 2.0

Couteau de poche 2.0

Le couteau de poche à souvent pleins de souvenirs ! Il s’agit du couteau que le grand-père utilisait lorsqu’une occasion se profilait ou comme celui que les scouts déployaient pour couper les cordes ou tailler les branches. En principe, ce type de couteau est pliant, d’où son autre dénomination, couteau pliant, comme le Couteau de poche 2.0

Le couteau pliant : ses diverses utilisations 

Ce modèle de couteau est pratiquement court, parce que sa taille est d’environ quinze cm de longueur une fois la lame sortie. Son poids est de 50 g. Il est même possible de croiser des modèles encore plus minuscules. Commode, le système pliable permet alors de classer le couteau sans difficulté dans la poche du pantalon, comme le Couteau de poche 2.0. Son seul bémol est le fait qu’il soit moins solide qu’un couteau fixe. Malgré ce petit défaut, il peut s’utiliser dans un large domaine :

Utilisation quotidienne

Le couteau aux formes pliantes peut servir au quotidien, non pas pour la cuisine, mais pour réaliser le bricolage. Il permet de sertir les fils électriques à défaut de pince à sertir. Il permet aussi d’éplucher une pomme quand le couteau de cuisine n’est pas disponible. Toutefois, il ne devrait pas assurer les fonctions d’un tournevis au risque de l’endommager. Etant donné que le port d’un couteau soit interdit en lieu publique, il est toutefois recommandé de le classer à l’intérieur la boîte à gants du véhicule. De cette manière, lorsque un accident survient, il est possible de sortir ce couteau pour se détacher entre autres de la ceinture de sécurité.

Usage outdoor

Pour les amoureux de campings, de randonnées ou de bushcraft, le couteau pliant est un indispensable pour bien de choses. Il est en mesure de sectionner aussi bien le pain que les branches. Dans des cas exceptionnels, le couteau peut sauver la vie à un randonneur. Il peut le saisir en vue de se défendre face à un animal sauvage tel le sanglier.

Manipulation pour la chasse ou la pêche

Le couteau de poche n’est en aucun cas l’égal d’un couteau de chasse. Pourtant, sa lame est capable de réaliser certaines tâches simples telles que couper en languette un appât ou servir pour concevoir un piège à lièvres. Ce qui est certain c’est que cette catégorie de couteau peut être un ami fidèle où qu’on aille.

Les variétés de couteau pliable

Nombreux sont les types de lames du couteau pliable. Chaque forme est d’habitude réservée à un usage spécifique. C’est le cas de la lame droite qui permet de faire des coupes fines. En voici d’autres variétés de lames à découvrir :

Clip Point

Dos non affûté et tranchant rectiligne, cette variété de lame a une émouture très fine. C’est la plus répandue des structures.

Type de lame Trailing Point

Cette variété de lame propose un tranchant curviligne vers la pointe. La courbe est bien effective, réellement pour assurer la tâche. Les couteaux de poche qui possèdent cette lame permettront d’exécuter des tâches de perçage.

Hawk’s Bill

C’est une lame qui reprend l’aspect d’un bec d’aigle. Dos curviligne vers la pointe, la lame permet d’accomplir des opérations que d’autres gammes ne pourraient réaliser.

Lame Dao

Certaines lames de couteau pliable pourront avoir cette forme spéciale. Dos droit jusqu’au dernier quart et de là il suit une courbe en creux vers la pointe. En ce qui concerne son pouvoir de tranchant, il suit la trajectoire, mais jusqu’à la zone centrale de la lame. De là, la courbe devient convexe. La largeur de la lame est effectivement remarquable, ce qui lui offre plus ou moins l’aspect d’une mini machette.

Les modèles authentiques

On peut rencontrer des formes de lames qui sont façonnées selon les sensations des artisans. C’est pour cette raison qu’il est possible de trouver des couteaux pliables formés de lames qui imite la forme de hachette.

Les matières de fabrication de la lame

Les deux principaux constituants utilisés pour concevoir la lame sont l’acier en carbone et l’acier inoxydable. Si la lame en acier inoxydable est moins rigide par rapport à celle en acier de carbone, ce dernier s’oxyder facilement.

Ces deux composés sont tous efficaces, à condition de bien les utiliser. Il serait donc mieux de prendre un couteau de poche concu en acier inoxydable dans des conditions humides et pour une utilisation occasionnelle. Le couteau fabriqué à partir d’acier au carbone constituera un précieux allié pour des actions plus rudes.

Bref, il ne faut pas oublier l’acier damassé, réputé par ses reliefs grâce aux différentes sous couches qui sont constituées simultanément. C’est même le style retrouvé sur la plupart des couteaux de poche. Ce modèle de matière de fabrication est résistant, mais il craint l’eau.

Les matières de fabrication utilisées pour le manche

Qu’il charme les collectionneurs ou passionnés de bivouac, le couteau pliant dispose d’un manche adéquat pour une excellente manipulation. Cette composition n’est pas seulement esthétique, mais elle devrait bel et bien correspondre à la main de son usager. Différents matériaux interviennent alors dans sa production :

Poignée en aluminium

Il est apprécié pour son faible poids, mais surtout pour son aspect captivant. Les guerriers font partie des passionnés de ce modèle de poignée.

Poignée en titane

Grâce à sa forme magnifique, ce constituant est tenace et peut résister aux phénomènes corrosifs. Il est également léger pour un usage plus facile lors des activités plus ardues.

Poignée en bois

Le design de la poignée en bois s’embellit au fil des années pour proposer à l’heure actuelle de jolis modèles. Les magasins de collection sont les premiers à apprécier les couteaux de poche à manche en bois.

Manche en os

Utilisé depuis mille ans, l’os est mieux travaillé pour former des manches stylés. On regrette pourtant sa surface lisse, parce qu’il pourrait rendre plus difficile l’opération. En revanche, ce type de manche est très recommandé par les maisons de collection.

Manche en G10

Il s’agit d’une fibre de verre durcie dans une résine. Il est en même temps tenace et durable, mais manque en certains cas de charme.

Elle se trouve parmi les principaux composés pour faire des manches de bonne qualité. Et le design vient des inspirations des artisans. Il convient cependant de remarquer que le meilleur manche sera celui qui s’adaptera à la taille de la main.

Les divers types de mécanismes de déverrouillage

Le mécanisme de déverrouillage du couteau pliant peut avoir trois options. Par conséquent, on peut trouver :

Le système manuel

La majorité des modèles peuvent être ouverts de manière manuelle, rien qu’en saisissant avec le doigt ou encore à l’aide d’un ongle, la petite entaille (Nail Nick) qui se trouve au niveau de la lame.

Le mécanisme à déverrouillage assisté

Ce mécanisme d’ouverture se fait de manière manuelle, mais avec un peu d’aide. Les modèles possédant ce concept comportent un « thumb stud », le petit goujon qui se trouve sur la lame, soit d’un thumhole, le petit trou qui peut se trouver à la place. Il convient de pousser le thumb stud avec le pouce pour sortir la lame en moins de deux. C’est le même cas que le système thumhole, il faut engager le pouce à l’intérieur pour libérer la lame d’un seul mouvement.

Dans ce même catalogue, le flipper représente également une facilitation à l’ouverture de la lame. Il avance sur le dos à la seconde où le couteau est rentré. Il convient de le retrancher pour employer la lame.

Le modèle automatique

Avec ce nouveau mécanisme, plus besoin de pousser, mais d’appuyer ! Selon le type, il est possible d’appuyer sur un bouton ou encore un levier pour sortir la lame automatiquement.

Les mécanismes de verrouillage

Ce sont des systèmes qui verrouillent la lame en l’empêchant de revenir vers son logis. Il existe de multiples systèmes de verrouillage, mais il faut ne choisir que les plus reconnus.

Système Liner Lock

Afin d’empêcher le couteau de se bloquer, une tige en acier placée à l’intérieur de la poignée vient percuter contre la lame. Il convient de presser cette tige avec le doigt en vue de déverrouiller la lame.

Fermeture Frame Lock

Ce mécanisme marche comme le modèle précédent, mais il se démarque au niveau de la composante bloqueuse. En réalité, c’est la partie interne du manche qui verrouille la lame. Grace à ce mécanisme, il est plus dur que Liner Lock.

Verrouillage Back Lock / Front Lock

Le type de verrouillage se fait de manière automatique, et ce, à partir du verrouillage à pompe. Afin de bien savoir, une tige fabriquée en métal vient crocheter sur la branche supérieure du talon (section non émouturée entre la poignée et la lame). Pour désengager cette tige, c’est-à-dire pour ouvrir le système de verrouilage, il suffit de presser sur un ressort. Cette composante se trouve sur le dos ou en arrière de la poignée, d’où la dénomination du système, Back Lock ou Front Lock.

Verrouillage Virole

Ce modèle de verrouillage est courant. Et il se découvre généralement sur les couteaux de l’établissement de fabrication Opinel.  Entre le manche et la lame se situe une bague en acier, à pivoter avec la main pour fermer la lame. L’ouverture s’opère en retournant la bague dans l’autre sens. Certaines entreprises ont fabriqué leurs propres modèles de verrouillage.

Fermeture Axis-lock

Si ce mécanisme se trouve généralement sur les lames de la société américaine Benchmade, d’autres sociétés commencent l’explorer. Installé sur l’axe de la lame, un autre axe se situe horizontalement pour empêcher la lame de retourner. C’est bien un mécanisme garantissant la protection.