Dépecer, hacher, couper, trancher, émincer, tant d’occupations qui sollicitent l’usage de couteaux spécifiques en cuisson. Passionné ou grand maître de la cuisson, disposer de nombreux types de couteau de cuisine s’avère une grande aisance afin de mieux faciliter ses opérations, comme le Couteau de cuisine manche bleuté.
De nos jours, le secteur de la coutellerie recommande les couteaux damas dans l’univers de la cuisine étant considéré les différents privilèges qu’ils sont en mesure de procurer. Il faudrait juste acquérir le bon type de couteau en fonction de ses contraintes et de la catégorie des alimentations à découper.
Le couteau japonais se fait de plus en plus désirer par les professionnels de la cuisine grâce à ses facultés à trancher avec une grande exactitude, facilité. Manifestant une belle expérience de coutellerie, il a été façonné avec une lame de haute qualité selon des procédés artistiques. Inversement aux couteaux anciens manipulés pendant la cuisine, il apporte une qualité de coupe plus rigoureuse, mais également plus efficace.
Quelle est la raison expliquant que le couteau fabriqué à partir de lame damas soit plus fin, mais plus sur qu’un coupeur traditionnel ? Son authenticité réside dans l’historique de sa production. La production de l’acier damassé en -300 avant J.C avait à l’origine pour destination de maximiser les caractéristiques physiques d’un accessoire en acier.
A l’origine, un produit en acier fut façonné, allongé, fléchi en deux, ensuite reforgé à répétition. Au final, on a obtenu une pièce d’acier constituée de plusieurs centaines de couches en superposition. L’acier conçu fut ensuite utilisé dans le façonnage des sabres et des épées orientaux sous l’appellation historique de « Damas Wootz ». Les procédures de son façonnage ont continué de s’améliorer tout le long des années jusqu’en 1750.
Ce n’est que plusieurs années plus loin, soit vers le début du 19e siècle qu’il apparait une tout autre fonction en prodiguant un remarquable support de coupe en cuisine.
L’existence du couteau damassé dans le monde de la cuisine témoigne la relation existante entre art et coutellerie. Le couteau résulte effectivement d’un procédé de façonnement laborieux que seul un artisan expérimenté en alliage saura maitriser à la perfection.
Afin de créer un couteau damas artisanal, un coutelier a besoin d’utiliser plusieurs aciers soudés à température élevée à partir du martelage convenable à l’acier ou bien au système de martelage à la presse. Lorsqu’il atteint une masse uniforme, il chauffe à nouveau l’ensemble du bloc pour pouvoir l’allonger, ensuite le replier en deux. Cette approche devrait se faire de manière répétée jusqu’à obtention d’une sublime lame en acier de meilleure qualité et sans défaut comme le Couteau de cuisine manche bleuté.
Un bon couteau damassé est reconnu surtout pour le rapport parfait qu’il tient entre élasticité et solidité. Cette propriété s’obtient grâce à ses étapes de fabrication complexe à l’image du yin et du yang, deux natures contradictoires, mais qui réalisent des actions complémentaires.
L’adaptabilité du couteau fait référence non pas à sa nature flexible, mais notamment à sa faculté de résistance à se briser après un moindre impact. Afin d’obtenir cette propriété, il doit alors avoir un alliage faiblement malléable vis-à-vis des outils de coupe anciens.
Sa durêté s’obtient à partir d’un fort alliage carboné au niveau de sa partie nucléaire. En somme, il est semblable à un dispositif de coupe spécial dur dans les couches internes, mais suffisamment flexible pendant l’usage.
Pour une lame de couteau, le damas fournit un mélange idéal des multiples intérêts de l’acier. Puis bien que le façonnage de cette sorte de couteau, il peut passer par différentes procédures à l’infini, à la base, on se tient sur un même système. L’association ressort souvent un cœur concentré en carbone avant de former plusieurs couches de recouvrement en chrome.
En ce sens, les composés carbone et chrome se combinent pour constituer un ensemble résistant anticorrosif qu’il est dur de le fracturer au moindre choc.
Le couteau damassé d’origine japonaise est apprécié par les passionnés et spécialistes de la coutellerie vu son style commode et classe. Grâce à sa méthode de fabrication complexe en termes d’alliage, il présente à sa surface des motifs admirables considérés comme de réelles œuvres d’art.
On n’est plus surpris que les belles gammes de couteaux damas de cuisine soient repertoriées dans la liste de l’Inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel de la France.
Le couteau professionnel en acier damas présente une tenue plus tenace avec une bonne répartition des imperfections du métal sur toute la partie du couteau. On peut vérifier donc que la lame s’avère 5 fois, voire 10 fois plus tenaces que les lames classiques de cuisine.
Plus le composé carboné est partagé sur le dispositif de coupe, plus il a le pouvoir bien effectuer une découpe rapide et précise.
Découper au couteau en utilisant une lame en acier damassé, c’est bien sûr profiter d’un support de coupe intéressant sur multiples côtés. En conséquence, on reçoit :
Le choix d’un couteau de cuisine varie selon l’utilisation qu’on prévoit en faire. Sans doute, un grand maître de l’art culinaire ne va pas se servir du même matériel de découpe pour couper ses légumes, dépecer la chair d’animal ou encore couper ses pains. Par conséquent, malgré qu’on répertorie des catégories de couteaux damas standards utilisables pour différentes utilisations, c’est toujours plus profitable de se servir des matériels spécifiques.
Un couteau de cuisiniers japonais est reconnu pour ses facultés à effectuer diverses fonctions de coupes dans la préparation culinaire. C’est surtout le cas du Gyuto et du santoku.
Reconnu tel un véritable couteau pour découper du bœuf, le Gyuto est aussi capable de faire la coupe d’autre chose. Avec une lame plus plate et un angle de bord de 15 à 18 °, il offre une excellente précision de coupe pour découper finement de la viande assez volumineuse.
Santoku est reconnu par « trois principaux points », à savoir hacher, trancher et couper. Un cuisinier confirmé ou un amoureux de la préparation culinaire pourra tout à fait accomplir ces trois tâches. Ce couteau de référence procure un effet balancier agréable durant son utilisation. Il permet tant bien de tailler minutieusement les herbes que de hacher les légumes et fruits sous format cubique.
Pour la culture orientale, la coupe des légumes et fruits est réalisée soit en maniant un Nakiri, soit en maniant un Usuba. Ces 2 couteaux en lames d’acier damas sont excellents pour cuisiner une large sélection de légumes grâce à son maniement aisé et rapide.
Ces deux couteaux de cuisine effectuent parfaitement la coupe sur planche au moyen de sa lame plus raffinée que la majorité des couteaux japonais. Adaptant une forme rectangulaire, ils permettent de grouper les fruits et légumes taillés vers un autre contenant.
Besoin d’un vrai couteau pour préparer du poisson ? Le Debahocho et le Sashimi formeront les meilleurs couteaux japonais susceptibles de vous donner satisfaction.
Vu sa lame fine, le Deba s’utilise pour nettoyer, désosser puis couper avec précision la viande de poissons ayant un gabarit pouvant aller jusqu’à trente centimètres.
Grâce à sa longueur, ce couteau Sashimi promet un système de coupe à lame solide non flexible afin d’ôter sans tarder la peau des poissons, et ce sans gaspillage. Les experts de la cuisson préfèrent s’en servir pour préparer des sushis.
Couper des pains avec finesse requiert l’usage d’un type de couteau denté. On en découvre en version damassée, mais avec une lame damassée qui expose plus une utilisation stylique que pratique.
En dehors de son usage, un bon couteau de cuisine se choisit selon le manche qu’il propose. En fait, dans l’univers de la cuisine, il est important de prêter attention aux couteaux à manche large pour avoir des coupes raffinées et exactes. Un manche peu adapté peut former des coupes dures et agressives qui ne correspondent pas à l’attente d’un outil de coupe professionnel.
Les couteaux faciles à utiliser comprennent un manche compatible aussi bien pour un droitier qu’un gaucher. Ce dernier adopte une configuration en D avec un côté arrondi fabriqué pour être maintenu par la paume de votre poignée.
Outre la structure, il faut aussi prendre en considération le matériel utilisé pour la confection du manche. Dans le cas d’un couteau fabriqué à partir du bois, on prendra un dispositif de coupe en bois traité ou imputrescible. Parmi la sélection des modèles metalliques, les couteaux de cuisine à manche en acier inoxydable s’avèrent les plus adéquats. Le modèle en plastique fournit certainement un bon choix en termes de budget, toutefois il est indispensable de faire attention à choisir un couteau qui résiste bien aux impacts.
Tout compte fait, les couteaux damas parfaits à utiliser sont ceux qui s’accommodent en même temps à des usages spécifiques, un portefeuille précis et un manche facile à prendre.
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