Ce Couteau de jungle brésilien est parfaitement adapté à beaucoup d'activités en tous genres, mais sera un atout parfait pour les amoureux de chasse. On vous décrit tous ci-dessous 🔥
La chasse ! Si les aguerris admettent qu’il est essentiel de se doter de bons outils pour capturer du gibier, les apprentis ont besoin de revoir nombre de pratiques, entre autres, ne jamais sortir chasser sans, non plus son chien chasseur, mais plutôt son couteau de chasse.
Le Couteau de jungle brésilien est un outil qui sort de l’ordinaire, car élaboré spécialement pour cette activité outdoor.
Cet accessoire de chasse se compose de plusieurs catégories, systématiquement, pour des nécessités spécifiques.
Il peut servir pour couper l’animal abattu, le dépouiller, l’éventrer, l’équarrir ou encore l’éviscérer. Mais à chaque opération son couteau. En conséquence, certains accessoires présentent une forme particulière. On cite par exemple le skinner qui possède une lamelle en demi-lune. Ce modèle permet notamment de découper l’animal.
Certains couteaux sont polyvalents, ce qui leur permet donc d’effectuer plusieurs fonctionnalités. Cependant concrètement, rien ne vaut la capacité d’un couteau dont la structuration a été spécialement programmée pour une action bien précise.
Vu les incidents que présente cette pratique assez dangereuse, les couteaux dits de chasse peuvent certaines fois protéger le chasseur en cas de danger. C’est comme un scénario où un ours furieux ou également une bête sauvage apparait subitement pour l’agresser. Ces couteaux sont classés dans la variété des accessoires de survie.
Aussi, pour d’autres gens, le couteau de chasse pourra constituer des pièces de collection.
De coutume, les vendeurs de couteaux de chasse de collection mettent en vente des modèles d’antan ou encore des modèles qui ne sont plus confectionnés par l’entreprise. Les collectionneurs peuvent trouver leur satisfaction aussi bien dans les magasins de brocante que dans les boutiques en ligne comme Forge Origine.
En revenant aux différentes catégories du Couteau de jungle brésilien, il a été forgé pour répondre à une nécessité particulière. Cette attente se rapporte ici aux différents types de chasse.
Le chasseur a besoin d’un couteau robuste pour dépecer le cuir des animaux énormes tels que le sanglier, le chevreuil, le chamois, le mouflon ou encore le cerf. Cependant, quand vient le moment du dépouillement (séparation de la viande et de la peau), le rechange de couteau s’annonce nécessaire. Pour réaliser cette opération sans délabrer la viande, il importe d’avoir un couteau dédié comme le skinner. Il se pourrait que l’animal pris par balle respire encore. Afin de l’épargner, le maniement d’une dague de chasse est plus commode pour transpercer son cœur et le tuer immédiatement.
Les petits animaux de chasse tels que la perdrix, le lapin, le faisan ou bien la bécasse ne requièrent pas de grosses lames pour accomplir les différentes opérations. Un couteau Bowie ou un couteau Buck saura satisfaire les exigences du chasseur.
Les animaux dits sauvages s’abritant à proximité des régions aquatiques (étang, marais, rivière, littoral…) sont catégorisés par les chasseurs, de gibiers d’eau. Il en est ainsi de l’oie et du canard sauvage, du galliforme, de l’échassier, de la sarcelle d’hiver ou encore de la poule d’eau. Lame courte ou longue lame, le choix varie selon l’envergure du gibier d’eau.
Malgré que ces deux pratiques ne soient pas exactement classées comme de la chasse, les gens qui les accomplissent, manient d’habitude des couteaux de chasse. Les couteaux droits ou de petite taille sont appréciables, pourtant il ne faut pas négliger leur grande robustesse.
La lame permet de découper le gibier. Elle devrait non seulement être aiguisée, mais résistante. Par suite, les marques se servent de deux sortes d’acier pour effectuer ces fonctionnalités. D’un côté, on peut citer l’acier carbone, un matériau plus facile à affûter, ce qui lui permet d’avoir une bonne performance de découpe. Toutefois, exposé à l’air et l’humidité, cet alliage s’oxyde. En vue de garder ce type de couteau de cette réaction corrosive, le nettoyage et l’assèchement après son utilisation sont nécessaire.
D’un autre côté, on trouve l’acier inoxydable qui résiste au phénomène d’oxydation, mais aussi aux facteurs corrosifs. Ce type d’acier est toutefois difficile à affiler. Seulement, une fois bien affilée, la lame inoxydable maintient son tranchant plus longtemps que possible. En fin de compte, c’est le parfait choix pour une utilisation quotidienne.
Les lames ont été façonnées en de multiples configurations. Si certaines possèdent un tranchant recourbé donnant à la lame un contour en S, d’autres correspondent au format d’un crochet. D’autres encore affichent les morphologies appelées Dao, Clip point, Tanto ou aussi Trailing point. Et à la lame s’ajoute l’émouture. C’est la forme de l’extrémité du couteau. Elle pourra être scandi, ciseau, plate ou aussi courbe.
Pour des contraintes d’esthétique, les lames reçoivent également des gravures. Ce sont les lames damassées dont la conception est semblable à l’acier de Damas, un métal historique différencié, à la finition, par des motifs éclatants.
Pour le couteau dédié à la chasse, celui-ci peut avoir une lame plane ou dépliable. Si le couteau pliable est utilisé pour les activités peu pénibles, le modèle fixe représente un choix indispensable pour assurer les activités sollicitant de l’énergie. Mais aussi ? Les couteaux pliables conviennent aux pêcheurs et passionnés de bushcraft, vu qu’ils peuvent tout à fait se classer dans les poches.
Maintien de la lame, le manche est la partie avec lequel on tient le couteau de chasse. Cette partie pourrait aussi être façonnée à partir de divers constituants. L’aluminium qui est retenu pour sa finesse, le laiton pour sa beauté ou encore l’os pour sa dureté. On peut citer également la fibre de carbone, la coquille d’ormeau, le caoutchouc et le bois.
Concernant la présentation, le parfait manche sera celui qui offre une excellente prise en main. Le but est pouvoir manier commodément le manche avec la main. Le choix de l’outil de chasse est effectué ainsi à partir de la taille de la main de l’utilisateur. Certaines sociétés de fabrication mettent quelques décorations ou accessoires auxilliaires à la queue des manches. Tête de mort, décapsuleur, ficelle d’attache, sifflet par exemple.
Les marques présentes dans ce secteur ont bel et bien prévu un large éventail de gammes. Comme Mora, Buck, Opinel et Linder fabriquent des couteaux adéquats et robustes. Or chaque produit à son coût selon sa gamme. Alors, il y a :
La gamme supérieure inclut en général les modèles forgés de manière artisanale. Le façonnement de l’instrument de chasse se conforme à une méthode classique conservant ainsi la robustesse du rendu. Ces lames ont habituellement des manches réalisés en bois, un choix de matériau idéal pour empêcher le glissement de la main. Ils sont impeccables et assurent pratiquement toutes les opérations. Le chasseur doit payer fort pour obtenir un modèle de gamme supérieure pour la chasse.
Ce sont les types de couteaux ayant un meilleur rapport qualité/prix. La qualité s’accorde à une certaine spécificité et de l’ergonomie. Quant au prix, il est abordable au budget moyen. Cependant, afin de préserver ces modèles en milieu de gamme aussi longtemps que le chasseur pratique son exercice, l’entretien est de mise. Et puis, c’est possiblement le choix convenant à une manipulation occasionnelle.
Il s’agit des modèles à prix moins chers, mais leur particularité est fonction de la société qui les conçoit.
Il est certainement envisageable de se pencher vers un type de couteau en entrée de gamme d’une grande marque, pour se garantir de sa capacité. La durabilité est par contre remise en question compte tenu de la nature des composés entrant dans la conception de ces couteaux.
Les chasseurs en herbe devront néanmoins garder en tête qu’un meilleur chasseur ne se réduit pas à la maîtrise des techniques de chasse et d’appâtage, avoir des accessoires complets fait partie des points essentiels à retenir.
Évidemment ! Le bichonnage d’un couteau de chasse prolonge sa durabilité. La première règle consiste à le manier de façon adéquate ! La mauvaise habitude de manier le couteau comme levier ou tournevis est à bannir. Ensuite vient le moment du bichonnage.
Le lave-vaisselle est à bannir et encore les produits chimiques et les éponges abrasives qui risquent de détériorer la lame. De l’eau savonneuse avec un bon coup de chiffon règleront l’affaire.
Quel que soit le modèle de couteau de chasse, il est primordial de bien enlever les résidus de poils, de fourrure ou de sang du gibier. Une brosse fine peut aider à assurer un décrassement méticuleux.
Pour les couteaux pliants, leur bichonnage est nécessaire. Il importe de lubrifier régulièrement le mécanisme pour qu’il ne se coince pas.
Au moment de l’acquisition d’un couteau adapté à la chasse, il est recommandé d’opter pour des modèles comprenant un étui. En complément de son niveau de protection, l’étui sert à ranger, mais aussi à préserver le couteau des rayures. Cet accessoire pourrait être en plastique, en fourrure et dans de cas rare à partir du bois.
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