Ce Couteau droit de chasse japonais est très bien adapté à beaucoup d'activités en tous genres, mais sera un atout parfait pour les passionnés de chasse. On vous décrit tous ci-dessous 🔥
La chasse ! Si les aguerris admettent qu’il est indispensable de s’armer de bons outils pour aller chasser du gibier, les apprentis doivent s’adapter à certaines pratiques, entre autres, ne jamais partir à la chasse sans, non plus son chien, mais son couteau de chasse.
Le Couteau droit de chasse japonais agit d’un accessoire exceptionnel, étant donné qu’il est forgé avant tout pour cette activité outdoor.
Cet accessoire de chasse est composé de plusieurs catégories, justement, pour des nécessités spécifiques.
Il s’utilise pour couper l’animal abattu, l’écorcher, l’éventrer, l’équarrir ou encore l’éviscérer. D’où l’importance de bien choisir son couteau. Par conséquent, certains outils possèdent une conception particulière. Il y a par exemple le skinner qui comporte une lame en demi-lune. Il s’utilise surtout pour découper le gibier.
Certains couteaux sont polyvalents, ce qui leur permet alors d’assurer plusieurs fonctionnalités. Mais en pratique, rien n’est comparable à la capacité d’un couteau dont l’édification a été spécialement étudiée pour une action bien définie.
Vu les risques que présente cette activité aventureuse, les couteaux pour la chasse pourront quelquefois protéger le chasseur en cas de incident. Il en est ainsi du scénario où un ours fou de rage ou également un sanglier apparait imprévisiblement pour l’agresser. Ces outils de chasse sont répertoriés dans la variété des couteaux de survie.
Egalement, pour d’autres individus, le couteau de chasse pourra servir de pièces de collection.
Dans ce secteur, les vendeurs de couteaux de chasse de collection commercialisent des modèles d’antan ou encore des modèles qui ne sont plus confectionnés par l’entreprise. Les collectionneurs peuvent croiser leur plaisir aussi bien dans les établissements de brocante que dans les sites de vente en ligne comme Forge Origine.
En repassant à la déclinaison du Couteau droit de chasse japonais, il a été confectionné pour satisfaire une attente spécifique. Cette exigence fait référence ici au type de chasse.
Le chasseur a besoin d’un couteau tenace pour résister au cuir des gros animaux comme le chevreuil, le sanglier, le chamois, le cerf ou encore le mouflon. Toutefois, quand vient l’heure du dépouillement (séparation de la peau et de la chair), le changement de couteau s’avère important. Pour faire cette pratique sans délabrer la viande, il faut utiliser un couteau spécial tel que le skinner. Parfois le gibier chassé par balle respire encore. Pour qu’il ne souffre plus, l’usage d’une dague de chasse est recommandé pour transpercer son cœur et l’achever en peu de temps.
Les animaux de petite taille comme la perdrix, le lapin, le faisan ou aussi la bécasse n’exigent pas de grandes lames pour achever les diverses opérations. Un couteau Buck ou bien un couteau Bowie comblera les attentes du chasseur.
Les animaux considérés comme sauvages s’abritant dans les milieux aquatiques (étang, marais, rivière, littoral…) sont considérés par les la majorité des chasseurs, de gibiers d’eau. C’est le cas du galliforme, du canard sauvage, de l’oie, de la poule d’eau, de la Sarcelle d'hiver ou encore de l’échassier. Longue lame ou lame courte, le choix diffère suivant le gabarit du gibier d’eau.
Bien que ces deux activités ne soient pas purement considérées comme de la chasse, les personnes qui les accomplissent, utilisent généralement des couteaux de chasse. Les petits couteaux ou couteaux droits sont appréciables, pourtant ne jamais négliger leur tenacité.
La lame détient le pouvoir de coupe. Elle doit non seulement être coupante, mais tenace. Donc, les établissements de fabrication se servent de deux sortes d’acier pour effectuer ces fonctionnalités. D’un côté, on peut citer l’acier carbone, un matériau qui est facile à acérer, ce qui lui permettra d’avoir une bonne performance de coupe. Cependant, exposé à l’air et l’humidité, ce matériau s’oxyde. En vue de garder ce modèle de couteau de ce phénomène dégradant, le nettoyage et le séchage après son usage sont requis.
D’un autre côté, on trouve l’acier inoxydable qui peut résister à la réaction d’oxydation, mais aussi à la corrosion. On reproche toutefois à ce couteau d’être assez difficile à affiler. Mais, une fois bien affilée, la lame inox conserve son pouvoir de découpe aussi longtemps que possible. Au bout du compte, c’est le choix parfait pour une utilisation permanente.
Les lames sont fabriquées sous de multiples présentations. Si certaines comportent un tranchant recourbé apportant à la lame un contour en S, d’autres adoptent le format d’un crochet. D’autres encore arborent des morphologies dénommées Dao, Tanto, Clip point ou également Trailing point. Ensuite à la lame s’ajoute l’émouture. C’est la structure de la limite du couteau. Elle pourra être plate, ciseau, scandi ou bien arrondie.
Pour des soucis d’esthétique, les lames reçoivent également des gravures. Ce sont les lames damassées dont l’édification est similaire à l’acier de Damas, un couteau légendaire caractérisé, à l’étape de finition, par des motifs miroitants.
Pour le couteau reservé à la chasse, celui-ci peut avoir une lame fixe ou pliable. Si le modèle pliable est adapté aux activités peu rudes, le couteau fixe se réserve d’être un bon choix pour assurer les activités nécessitant de l’énergie. Mais en particulier ? Les couteaux dépliables sont intéressants pour les pêcheurs et aficionados de bushcraft, car ils pourront carrément se faufiler dans les poches.
Prolongement de la lame, le manche est l’accessoire avec lequel on manipule le couteau de chasse. Cette partie peut aussi être forgée à partir de divers composants. L’alu reconnu pour sa finesse, le laiton pour sa beauté ou bien l’os pour sa compacité. On peut citer également la fibre de carbone, la coquille d’ormeau, le caoutchouc et le bois.
En ce qui concerne l’aspect, le manche idéal sera celui apportant une meilleure prise en main. L’important est pouvoir manier confortablement le manche dans la main. Le choix du couteau de chasse se fixera alors à partir de la taille de la main de l’usager. Certaines maisons de fabrication étalent quelques ornementations ou accessoires complémentaires à l’extrémité des manches. Ficelle d’attache, décapsuleur, sifflet, tête de mort en sont quelques exemples.
Les marques expertes dans ce domaine ont bel et bien prévu une large variété de gammes. Comme Linder, Opinel, Mora et Buck vendent des modèles adéquats et durables. Cependant chaque produit à son coût selon sa gamme. Par suite, il y a :
La gamme supérieure inclut en général les couteaux façonnés de manière artisanale. L’élaboration de l’instrument de chasse suit une pratique classique conservant alors la dureté du produit. Ces lames possèdent d’habitude des manches réalisés en bois, le choix idéal permettant d’éviter le glissement de la main. Ils sont impeccables et peuvent servir à quasiment toutes les opérations. Le chasseur doit payer fort pour avoir un modèle de gamme supérieure pour la chasse.
Ce sont les catégories de couteaux affichant un meilleur rapport qualité-prix. La qualité coïncide à une certaine capacité et facilité d’utilisation. Quant au prix, il est accessible au portefeuille moyen. Néanmoins, dans le but de garder ces modèles en milieu de gamme aussi durable que le propriétaire effectue son activité, le bichonnage est de mise. Et ensuite, c’est sans doute le choix convenable à une manipulation occasionnelle.
Ce sont les modèles à moindre coût, mais leur propriété varie selon la marque qui les produit.
Il est généralement envisageable de choisir un type de couteau en entrée de gamme d’une marque de grand renom, en vue de s’assurer de sa convenance. La pérennité est cependant remise en question compte tenu de la qualité des matières entrant dans la fabrication de ces modèles.
Les chasseurs en herbe devront néanmoins reconnaître qu’un bon chasseur ne se limite pas à la pratique des techniques de chasse et d’appâtage, le fait de mieux s’équiper fait partie des points importants à retenir.
Effectivement ! L’entretien d’un couteau de chasse améliore sa durée d’usage. La première règle est de le manipuler de façon convenable ! La mauvaise habitude d’employer la lame comme tournevis ou levier est à proscrire. Ensuite survient le temps du bichonnage.
Le lave-vaisselle est à proscrire et de même les produits chimiques et les éponges abrasives qui risqueront de abîmer la lame. Une solution savonneuse et un petit chiffon résoudront l’affaire.
Quel que soit le modèle de couteau employé pour la chasse, il convient de bien retirer les débris de poils, de fourrure ou de sang de l’animal. Une brosse fine permettant de bien effectuer un décrassage soigné.
Concernant les couteaux pliants, leur bichonnage est capital. Il convient de lubrifier de façon régulière le mécanisme de sorte qu’il ne se déteriore pas.
Lors de l’acquisition d’un couteau destiné à la chasse, il est recommandé de se tourner vers des modèles composé d’étui. En plus de son niveau de protection, l’étui est utile pour classer, mais également à assurer la sauvegarde de l’accessoire des éventuelles éraflures. Cet outil pourrait être en cuir, en plastique et peu souvent avec du bois.
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