Couteau pliant épuré

Couteau pliant épuré

Le petit couteau de poche à souvent pleins de bons souvenirs ! Il s’agit du couteau que le grand-père utilisait lorsqu’une occasion se présentait ou comme celui que les scouts déployaient pour couper les cordes ou élaguer les branches. Le plus souvent, cette sorte de couteau est pliante, d’où son autre nom, couteau pliable, comme le Couteau pliant épuré

Le Couteau pliant épuré : ses différents usages 

Ce type de couteau est nettement court, parce que sa dimension est d’environ 15 cm de longueur quand sa lame se tire. Son poids est de 50 grammes. On peut croiser des modèles encore plus minimes. Commode, le système pliant sert à mettre le couteau sans difficulté dans la poche du pantalon, comme le Couteau pliant épuré. Son seul bémol est le fait qu’il soit moins résistant par rapport à un couteau fixe. Sans tenir compte de ce petit défaut, il peut servir dans un large domaine :

Utilisation au quotidien

Le couteau pliant s’utilise tous les jours, non pas pour la concoction, mais pour faire le bricolage. Il permet de sertir les branchements électriques en cas d’absence de pince à sertir. Il est également utile pour éplucher une pomme lorsque le couteau de cuisine se trouve ailleurs. Mais faites attention, il ne pourrait pas jouer le rôle d’un tournevis au risque de le détériorer. Etant donné que le port d’un couteau soit interdit en public, il est toutefois recommandé de le placer à l’intérieur la boîte à gants du véhicule. Ainsi, lorsque un accident arrive, il est possible de sortir ce couteau pour se délivrer entre autres de la ceinture de sécurité.

Utilisation outdoor

Pour les aficionados de campings, de randonnées ou de bushcraft, le couteau pliable est un indispensable pour bon nombre de choses. Il est en mesure de couper aussi bien la brioche que les branches. Dans des cas exceptionnels, le couteau peut venir à la rescousse d’un aventurier en nature. Il peut le saisir afin de se défendre contre un animal sauvage comme le sanglier.

Manipulation pour la pêche ou la chasse

Le couteau de poche n’est pas identique au couteau de chasse. Néanmoins, sa lame peut assurer certaines tâches élémentaires comme morceler en languette un appât ou servir pour fabriquer un piège à lièvres. Ce qui est sûr c’est que cette variété de couteau représente un ami fidèle où qu’on aille.

Les modèles de lames pour couteau pliant

Nombreux sont les types de lames du couteau qui se plie. Chaque forme est généralement destinée à un usage bien précis. Il en est ainsi de la lame droite qui peut réaliser des coupes fines. En voici d’autres modèles de lames à considérer :

Type de lame Clip Point

Avec son dos non affilé et son tranchant linéaire, cette catégorie de lame a une émouture très fine. C’est la plus célèbre des configurations.

Lame Trailing Point

Ce modèle de lame forme un tranchant curviligne vers la pointe. La trace est bien marquée, généralement pour accomplir la tâche. Les couteaux de poche qui ont cette lame serviront à exécuter des tâches de perçage.

Lame Hawk’s Bill

C’est une lame qui a l’aspect d’un bec d’aigle. Dos curviligne vers la pointe, cette lame permet d’assurer des opérations que d’autres catégories ne pourraient réaliser.

Modèle de lame Dao

Certaines lames de couteau pliant peuvent reproduire cette forme spéciale. Dos rectiligne jusqu’au dernier quart et de là il côtoie une courbe rentrant vers la pointe. Quant à son pouvoir de tranchant, il adapte la trajectoire, mais jusqu’à la partie centrale de la lame. De là, la courbe devient convexe. La largeur de la lame est effectivement importante, ce qui lui offre à peu près la forme d’une petite machette.

Les formes spécifiques

On peut rencontrer des formes de lames qui sont produites à partir des sentiments des fabricants. C’est la raison pour laquelle il est envisageable de tomber sur des couteaux pliables constitués de lames adaptant la forme de hachette.

Les matériaux d’élaboration de la lame

Les deux principaux éléments employés pour élaborer la lame sont l’acier en carbone et l’acier inoxydable. Si la lame forgée en acier inoxydable s’avère moins dur comparée à celle en acier de carbone, ce dernier s’enrouiller dans le temps.

Ces 2 composants sont tous excellents, à condition de les utiliser de manière adéquate. Il est recommandé de prendre un couteau de poche en acier inoxydable en conditions humides et pour un usage occasionnel. Le couteau élaboré à partir d’acier au carbone constituera le meilleur allié pour des actions plus pénibles.

Enfin, il ne faut pas ignorer l’acier de Damas, caractérisé par ses reliefs en raison des nombreuses couches qui sont constituées en même temps. C’est même le design retrouvé sur la grande majorité des couteaux de poche. Ce modèle de matériau est rigide, il craint toutefois l’eau.

Les matériaux utilisés pour le manche

Qu’il charme les collectionneurs ou passionnés de bivouac, le couteau pliable comprend un manche adéquat pour une excellente manipulation. Cette composition n’est pas juste esthétique, mais elle doit également épouser la main de son détenteur. De nombreux matériaux entrent donc dans son élaboration :

Matériau en aluminium

Il est reconnu par sa légèreté, mais également pour son aspect séduisant. Les militaires font partie des passionnés de ce modèle de poignée.

Matériau en titane

Grâce à sa belle forme, ce composé est tenace et peut résister aux facteurs dégradants. Il est également léger pour une utilisation plus facile lors des activités plus éprouvantes.

Poignée en bois

Le look de la poignée en bois s’embellit de génération en génération pour proposer actuellement de jolis modèles. Les maisons de collection sont les premiers à apprécier les couteaux de poche à poignée en bois.

L’os

Employé depuis des millénaires, l’os est mieux façonné pour former des manches esthétiques. On regrette toutefois son caractère lisse, puisqu’il risquerait de rendre plus complexe l’opération. En revanche, ce manche est très apprécié par les maisons de collection.

Poignée en G10

C’est une fibre de verre endurcie dans une résine. Il est en même temps solide et indéfectible, mais manque en certains cas de splendeur.

Elle se situe parmi les principaux composés de production des manches de qualité supérieure. Et le design dépendra de l’imagination des fabricants. Il est toutefois important de constater que le meilleur manche sera celui qui conviendra à la longueur de la main.

Les nombreux types mécanismes d’ouverture

Le système de déverrouillage du couteau qui se plie peut avoir trois possibilités. En conséquence, on peut trouver :

Le système manuel

La majorité des couteaux pliants s’ouvrent manuellement, rien qu’en saisissant avec le doigt ou à l’aide d’un ongle, la petite entaille (Nail Nick) qui se situe au niveau de la lame.

Le système à déverrouillage assisté

Ce modèle de déverrouilage s’accomplit de manière manuelle, mais avec un peu d’assistance. Les couteaux présentant ce concept comprennent un « thumb stud », le petit goujon qui se situe sur la lame, soit d’un thumhole, le petit trou susceptible de se trouver à la place. Il faut appuyer sur le thumb stud par le pouce pour tirer la lame en un rien de temps. C’est le même cas que le système thumhole, il faut insérer le pouce à l’intérieur pour faire sortir la lame d’un simple mouvement.

Dans cette même collection, le flipper représente aussi une facilitation à l’ouverture de la lame. Il avance sur le dos à la minute où le couteau est rentré. Il faut le retrancher pour employer la lame.

Le modèle automatique

Avec ce nouveau modèle, plus besoin de pousser, mais d’appuyer ! Selon la catégorie, il est possible donner un coup de pouce sur un bouton ou bien un levier pour sortir la lame automatiquement.

Les mécanismes de fermeture

Ce sont des systèmes qui bloquent la lame en l’empêchant de retourner vers son logis. Il y a plusieurs mécanismes de verrouillage, mais il convient de ne choisir que les plus répandus.

Mécanisme Liner Lock

Afin d’empêcher le couteau de se refermer, une tige en acier disposée à l’intérieur du manche vient s’impacter contre la lame. Il faut appuyer cette tige avec le doigt afin de déverrouiller la lame.

Système Frame Lock

Ce système tourne comme le modèle antérieur, mais il se différencie au niveau de la partie bloqueuse. A vrai dire, c’est la zone interne de la poignée qui verrouille la lame. De cette mécanique, il est plus solide que Liner Lock.

Fermeture Back Lock / Front Lock

Le type de fermeture s’effectue automatiquement, et ce, à partir du verrouillage à pompe. En vue de mieux comprendre, une tige façonnée en métal vient crocheter sur la zone supérieure du talon (zone non émouturée entre la lame et la poignée). Pour désengager cette tige, c’est-à-dire pour débloquer le mécanisme de blocage, il faut appuyer sur un ressort. Cette pièce se situe en arrière ou sur le dos de la poignée, d’où l’appellation du mécanisme, Back Lock ou Front Lock.

Fermeture Virole

Ce mécanisme de verrouillage est populaire. Et il se trouve fréquemment sur les couteaux pliables du fabricant Opinel.  Entre le manche et la lame se situe une bague en acier, à pivoter avec la main pour bloquer la lame. L’ouverture s’accomplit en faire pivotant la bague dans l’autre sens. Certaines fabricants ont élaboré leurs propres systèmes de verrouillage.

Axis-lock

Si ce système se situe en général sur les couteaux de la marque américaine Benchmade, d’autres entreprises commencent l’adapter. Fixé sur l’axe de la lame, un autre axe se situe en travers pour empêcher la lame de retourner. C’est un mécanisme garantissant la sécurité.