Couteau pliant G10

Description complète

Couteau pliant G10

Le petit couteau de poche à souvent pleins de bons souvenirs ! Il s’agit du couteau que le grand-père utilisait lorsqu’une occasion se présentait ou comme celui que les boy scouts utilisaient pour assurer la coupe des cordes ou élaguer les branches. En général, ce genre de couteau est pliant, d’où son autre appellation, couteau pliant, comme le Couteau pliant G10

Le Couteau pliant G10 : quand est-ce qu’il est utilisé ? 

Ce genre de couteau est généralement petit, parce que sa dimension est d’environ 15 centimètres de longueur une fois la lame sortie. Sa masse est de 50 g. Il est même possible de croiser des couteaux encore plus minimes. Pratique, le système pliable est utile pour mettre le couteau facilement au fond de la poche du pantalon, comme le Couteau pliant G10. Son seul défaut est le fait qu’il soit moins dur par rapport à un couteau fixe. En dépit de ce petit défaut, il peut s’utiliser dans un large domaine :

Utilisation au quotidien

Le couteau pliable peut servir au quotidien, non pas pour la préparation culinaire, mais pour assurer le bricolage. Il sert à sertir les câbles en cas d’absence de pince à sertir. Il s’utilise aussi pour éplucher les fruits et légumes lorsque le couteau de cuisine se trouve ailleurs. Mais jamais, il ne pourrait pas jouer le rôle d’un tournevis au risque de le détériorer. Etant donné que le port d’un couteau soit interdit en lieu publique, il est toutefois recommandé de le mettre dans la boîte à gants de l’automobile. De cette façon, quand un accident arrive, il est possible d’employer ce couteau pour se libérer entre autres de la ceinture de protection.

Manipulation outdoor

Pour les aficionados de bushcraft, de campings ou de randonnées, ce couteau qui se plie est important pour bien de choses. Il s’emploie pour couper aussi bien le pain que les branches. Dans des cas exceptionnels, le couteau peut secourir un randonneur. Il peut l’utiliser en vue de se défendre contre un animal sauvage comme le sanglier.

Manipulation pour la pêche ou la chasse

Le couteau de poche est très différent du couteau de chasse. Néanmoins, sa lame est en mesure d’accomplir certaines opérations simples telles que couper en languette un appât ou servir pour faire un piège à gibier. Ce qui est certain c’est que cette variété de couteau constitue un ami fidèle où qu’on aille.

Les catégories de lames pour couteau pliant

Il existe de nombreuses variétés de couteau pliable. Chaque forme est généralement destinée à un usage spécifique. Il en est ainsi de la lame droite qui convient pour les coupes raffinées. En voici d’autres catégories de lames à découvrir :

Clip Point

Dos non affilé et tranchant linéaire, ce type de lame se termine par une émouture très fine. C’est la plus célèbre des configurations.

Modèle de lame Trailing Point

Cette variété de lame présente un tranchant courbé vers la pointe. La trace est bien visible, manifestement pour réaliser l’opération. Les couteaux de poche qui comprenent cette lame permettront d’exécuter des tâches de perçage.

Type de lame Hawk’s Bill

C’est une lame qui reconstitue la forme d’un bec d’aigle. Dos courbé vers la pointe, la lame est capable de faire des tâches que d’autres variétés ne pourraient accomplir.

Modèle de lame Dao

D’autres lames de couteau pliant pourront adapter cette forme spéciale. Dos rectiligne jusqu’au dernier quart et de là il suit une courbe en creux vers la pointe. Pour ce qui est de sa capacité de tranchant, il adapte la trajectoire, mais jusqu’au point central de la lame. De là, la courbe suit une direction convexe. La largeur de la lame est effectivement importante, ce qui lui offre à peu près la forme d’une mini machette.

Les formes originales

Il existe des variétés de lames forgées à partir des inspirations des fabricants. C’est la raison pour laquelle il est envisageable de dénicher des couteaux pliables dotés de lames imitant la forme de hachette.

Les matériaux de fabrication de la lame

Les deux principaux éléments employés pour produire la lame sont l’acier en carbone et l’acier inoxydable. Si la lame produite en acier inoxydable est moins robuste que celle en acier de carbone, ce dernier peut produire de la rouille facilement.

Les deux constituants sont tous excellents, à condition de les utiliser de manière convenable. Il est recommandé de déployer un couteau de poche produit en acier inoxydable dans des milieux humides et pour une utilisation occasionnelle. Le couteau conçu à partir d’acier au carbone formera un meilleur compagnon pour des fonctions plus rudes.

Enfin, il ne faut pas ignorer l’acier damassé, réputé par ses reliefs grâce aux multiples sous couches qui sont façonnées ensemble. C’est même le design observable sur la majorité des couteaux de poche. Ce modèle de matériau est tenace, il craint toutefois l’eau.

Les matières utilisées pour le manche

Qu’il soit destiné aux collectionneurs ou amateurs de bivouac, le couteau pliant comprend un manche adéquat pour une meilleure prise en main. Cette composante n’est pas juste esthétique, mais elle doit aussi épouser la main de son usager. Diverses matières interviennent donc dans sa production :

Matière en aluminium

Il est reconnu par son faible poids, mais également pour son design attrayant. Les guerriers font partie des amoureux de cette variété de manche.

Le titane

Grâce à sa belle forme, ce composant est robuste et peut résister aux agents dégradants. Il est aussi léger pour une utilisation plus facile lors des tâches plus ardues.

Le bois

L’apparence de la poignée en bois se perfectionne dans le temps pour produire à l’heure actuelle de modèles élégants. Les maisons de collection sont les premiers à recommander les couteaux de poche à poignée en bois.

Matériau en os

Employé depuis des millénaires, l’os est mieux sculpté pour produire des poignées esthétiques. On regrette cependant son caractère lisse, parce qu’il risquerait de rendre plus délicate l’opération. Par contre, il est très recommandé par les maisons de collection.

Manche en G10

Il s’agit d’une fibre de verre trempée dans des composés résineux. Il est à la fois robuste et inaltérable, mais manque certaines fois de splendeur.

Elle fait partie des principaux composés pour forger des manches de meilleure qualité. Et le design hérite de l’inventivité des artisans. Il faut cependant relever que le bon manche sera celui qui conviendra l’étendu de la main.

Les divers types de mécanismes de déverrouillage

Le système de déverrouillage du couteau qui se plie se décline en 3 modes. Par suite, il y a :

Le système manuel

Une grande majorité des couteaux pliables s’ouvrent de manière manuelle, rien qu’en saisissant à l’aide du doigt ou bien à partir d’un ongle, la petite entaille (Nail Nick) qui se place au niveau de la lame.

Le système à déverrouillage assisté

Ce système de déverrouilage s’exécute de manière manuelle, mais avec un peu d’aide. Les modèles qui en sont dotés disposent soit d’un « thumb stud », le petit goujon qui se place sur la lame, soit d’un thumhole, le petit trou qui peut se trouver à la place. Il faut appuyer sur le thumb stud avec le pouce afin de tirer la lame en moins de deux. C’est le même cas que le modèle thumhole, il faut engager le pouce à l’intérieur pour faire sortir la lame d’une simple poussée.

Dans ce même modèle, le flipper constitue aussi une assistance à l’ouverture de la lame. Il avance sur le dos à la seconde où le couteau est replié. Il faut le retrancher pour manipuler la lame.

Le système automatique

Ici, pas la peine de pousser, mais de presser ! Selon la catégorie, il est possible de presser sur un bouton ou encore un levier pour faire sortir la lame de façon automatique.

Le système de fermeture

Ce sont des systèmes qui bloquent la lame en le privant de revenir vers son logis. Il y a de nombreux systèmes de fermeture, mais il est conseillé de ne choisir que les plus reconnus.

Système Liner Lock

Dans le but d’empêcher le couteau de se refermer, une tige en acier placée à l’intérieur de la poignée vient heurter contre la lame. Il suffit de presser cette tige avec le doigt pour faire sortir la lame.

Système Frame Lock

Ce système tourne comme le modèle précédent, mais il se démarque au niveau de la structure bloqueuse. En fait, c’est la zone intérieure de la poignée qui verrouille la lame. De ce mécanisme, il est plus solide que Liner Lock.

Fermeture Back Lock / Front Lock

Le modèle de blocage est automatique, et ce, avec du verrouillage à pompe. Dans le but de bien saisir, une tige en métal crochetera sur la partie supérieure du talon (partie non émouturée entre la lame et la poignée). Pour dégager cette tige, c’est-à-dire pour déverrouiller le mécanisme de verrouilage, il va falloir appuyer sur un ressort. Celui-ci peut se situer sur le dos ou en arrière de la poignée, d’où la dénomination de la mécanique, Back Lock ou Front Lock.

Système Virole

Ce système de fermeture est courant. Et il se trouve généralement sur les couteaux pliants du fabricant Opinel.  Entre le manche et la lame se situe une bague en acier, à tourner manuellement pour séquestrer la lame. Le déverrouillage se fait en tournant la bague dans le sens contraire. Certaines entreprises ont conçu leurs propres styles de verrouillage.

Axis-lock

Si cette structure se trouve principalement sur les modèles de l’entreprise américaine Benchmade, d’autres sociétés commencent à l’adopter. Installé sur l’axe de la lame, un autre axe se place en travers pour empêcher la lame de retourner. C’est bien un système garantissant la sécurité.


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