Couteau papillon tactique

Les différentes catégories de couteaux papillon 

Le couteau papillon, le balisong, ou également le butterfly knife ( Couteau papillon tactique) aux USA est à la fois un dispositif d’autodéfense et une arme de spectacle. Il a immédiatement trouvé ses adeptes à travers le monde. (

Il existe à l’heure actuelle deux types de butterfly knife accessibles. Chaque variété diffère selon le gabarit de la personne à laquelle elle est destinée :

• Le veinte-quatro : couteau papillon de 24 cm connu comme une arme de petite dimension correspondante aux femmes.
• Le veinte-nueve : butterfly knife de 29 centimètres destiné aux hommes. L’histoire raconte qu’un soldat philippin aurait gagné contre 29 ennemis avec un veinte-nueve, d’où sa dénomination.

Il faut prendre note que les modèles de balisongs déployés par l’armée peuvent atteindre 45 centimètres.

Utilisation du balisong

Le balisong est au premier abord un instrument d’autodéfense. Il s’utilise aussi dans certains arts martiaux tels que le Kali-Anis, un art martial provenant des Philippines. Ce dispositif de renfort est convenable pour , réaliser différentes figures impressionnantes d’ouverture et de fermeture de la lame (les tricks). ( Couteau papillon tactique)

Le maniement du balisong a conquis de nombreux flippers. Parmi eux se trouve le légendaire Philippin Fernando Poe. Cet art atteint aussi les Etats-Unis où on retrouve le roi du butterfly knife, Clay Groskranz.

Les atouts du butterfly knife

Le butterfly knife est un couteau pliant multifonction. C’est un instrument résistant qui peut être utilisé pour de nombreuses tâches. Il s’agit surtout d’une arme de self-defense qui se déplie illico.

Le risque de blessure imprévue est probable avec les catégories de couteaux pliants. Les incidents se produisent en certaines occasions lorsque la lame rentre automatiquement. C’est bien différent du butterfly knife car un loquet de sécurité immobilise la lame en posture ouverte.

Le couteau papillon, c’est au préalable une arme persuasive redoutable. Sortir un couteau papillon dans un contexte où il faut se défendre est susceptible de faire peur à l’adversaire. Mais il est préférable de bien savoir le manipuler.

Les différentes propriétés du couteau papillon

Le couteau papillon est reconnu par les deux branches mobiles qui forment le manche. Elles sont susceptibles de rentrer sur elles-mêmes pour enfermer la lame. La sûreté du manipulateur est assurée par un élément métallique qui emprisonne les branches qu’on appelle latch ou T-latch. Cet accessoire fixe le couteau papillon en position inoffensive et permet aussi à la lame de sortir en moins de deux. ( Couteau papillon tactique)

L’histoire du balisong

Les versions s’opposent quant à la source du couteau papillon. Certains parlent de son émergence aux Philippines l’an 1572 durant la colonisation espagnole durant laquelle les indigènes ont produit le couteau papillon pour se révolter contre les attaques coloniales. Ce couteau court était caché dans un accessoire discret en vue de berner les envahisseurs espagnols.

D’autres affectent la découverte de ce type de couteaux aux Français à travers le fameux couteau Pied-du-Roy. Semblerait-il que les Espagnols qui l’ont importé aux Philippines lors de l’invasion. De toute façon, chacun approuve que sa caractéristique d’aujourd’hui hérite de Perfecto de Leon, un meilleur forgeron philippin, en 1905.

Le couteau papillon accède au sol européen au 18è siècle, notamment dans les régions anglo-saxones. Aujourd’hui, on croise la plupart du temps le balisong dans l’environnement cinématographique.