3 Couteaux de cuisine martelé

3 Couteaux de cuisine martelé

Dépecer, hacher, couper, trancher, émincer, tant d’opérations nécessitant l’usage de couteaux convenables à cuisson. Passionné ou spécialiste de la préparation culinaire, se doter de différents types de couteau de cuisine crée un véritable plaisir partagé permettant de simplifier ses occupations, comme le 3 Couteaux de cuisine martelé.

En ce moment, le secteur de la coutellerie conseille vivement les couteaux damassés dans l’univers de la cuisine compte tenu des nombreux privilèges qu’ils sont susceptibles d’apporter. Il faudrait tout simplement savoir choisir le meilleur type de couteau selon ses nécessités et de la variété des plats à préparer.

Couteau damas, une performance artisanale inédite

Le couteau japonais conquiert le cœur des spécialistes de la cuisine pour ses capacités à couper avec une grande précision, légèreté sans trop d’effort. Démontrant un savoir-faire artisanal inédit, il a été produit à partir d’une lame de haute gamme suivant des méthodes artistiques. Contrairement aux anciens couteaux déployés durant la préparation culinaire, il propose une technique de coupe plus rigoureuse, mais à la fois plus efficace.

Histoire de l’acier damassé

Quelle est la raison qui explique que le couteau en lame damas soit plus raffiné, mais plus sur qu’un coupeur traditionnel ? Sa qualité réside dans le parcours historique de sa fabrication. La fabrication de l’acier damassé en -300 avant J.C avait à l’origine pour destination de maximiser les caractéristiques physiques d’un accessoire en acier.

Au premier temps, un produit en acier fut forgé, allongé, replié en deux, ensuite reforgé de façon répétée. Au final, on a pu obtenir une pièce d’acier comprenant plusieurs centaines de couches superposées. L’acier obtenu fut ensuite exploité dans le façonnement des épées et des sabres orientaux sous le nom historique de « Damas Wootz ». Les démarches de sa confection ont continué d’évoluer au cours des années jusqu’en 1750.

Ce n’est que plusieurs années plus tard, soit vers le début du XIXe siècle qu’il se réinvente une tout autre fonction en prodiguant un support de coupe hors du commun en cuisine.

Couteau damassé : une fusion d’art et de coutellerie 

L’apparition du couteau damas dans l’univers de la cuisine témoigne le rapport existant entre art et coutellerie. Le couteau résulte effectivement d’un procédé de façonnement complexe que seul un artisan expérimenté en alliage saura maitriser de manière parfaite.

Avant de concevoir un couteau damassé artisanal, un coutelier doit utiliser de multiples aciers soudés à température élevée grâce au martelage conforme à l’acier ou encore aux techniques de martelage à la presse. Une fois qu’il parvient à un composé uniforme, il rechauffe à nouveau le rendu afin de pouvoir l’étirer, puis le plier une deuxième fois. Cette approche doit se répéter continûment jusqu’à rencontrer une admirable lame en acier de haute qualité et impeccable comme le 3 Couteaux de cuisine martelé.

Le parfait équilibre entre souplesse et dureté avec le 3 Couteaux de cuisine martelé

Un réel couteau damas est connu surtout pour le rapport parfait qu’il tient entre flexibilité et robustesse. Cette caractéristique s’obtient suite à ses techniques de façonnage complexe à l’image du yin et du yang, deux propriétés divergentes, mais qui ont des actions complémentaires.

L’élasticité du couteau fait référence non pas à son caractère flexible, mais notamment à sa force de résistance à se briser suite à un moindre impact. Pour obtenir cette caractéristique, il doit alors avoir un alliage modérément tendre vis-à-vis des outils de coupe anciens.

Sa robustesse s’obtient grâce à un fort alliage en carbone au niveau de son noyau. En somme, on fera allusion à un dispositif de coupe professionnel dur à son intérieur, mais avantageusement flexible pendant son usage.

L’acier damassé en lame de couteau

Pour une lame de couteau, le damas fournit une meilleure combinaison des principaux avantages de l’acier. Et peu importe la fabrication de cette variété de couteau, il pourrait se soumettre à de nombreux procédés à l’infini, à la base, on se fixe sur un même système. L’association ressort souvent un noyau abondant en carbone avant de former plusieurs couches protectrices en chrome.

, les éléments carbone et chrome se complètent pour concevoir un ensemble solide anticorrosion qu’il est dur de le fracturer au moindre impact.

Un couteau unique et original pour la cuissson

Le couteau damassé japonais s’apprécie par les passionnés et professionnels des beaux couteaux grâce à son aspect noble et chic. Etant donné sa procédure de conception complexe en matière d’alliage, il laisse sur sa surface des motifs superbes considérés comme de jolies œuvres d’art.

On n’est plus surpris que les belles catégories de couteaux damas pour cuisiner soient situées dans la liste de l’Inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel Français.

Une lame à la fois dure et résistante

Le couteau professionnel en acier damassé procure une structure plus tenace avec une meilleure répartition des imperfections de l’alliage sur toute la longueur de la lame. On constate  donc que la lame est 5 fois, voire 10 fois plus robustes que les lames de cuisine anciennes.

Plus le composé carboné est réparti sur le matériel de coupe, plus il est susceptible de bien accomplir une coupe rapide et exacte.

Un support de coupe avantageux sur plusieurs points

Effectuer une coupe au couteau en utilisant une lame en acier damassé, c’est bel et bien bénéficier d’un support de coupe avantageux sur plusieurs aspects. Par conséquent, on obtient :

• Une excellente dureté de coupe
• Un support plus pérenne
• Des risques de fissure limitées
• Des faibles risques de torsion
• Des sections en rasoir fines et tenaces.

Un couteau japonais damassé selon l’usage

La préférence pour un couteau de cuisine dépend bien de l’utilisation qu’on désire en faire. Sans conteste, un grand maître  de l’art culinaire ne manipulera jamais le même outil de coupe pour couper ses produits légumineux, dépecer la chair d’animal ou bien morceler ses pains. Alors, malgré qu’on croise des classes de couteaux damas standards utilisables pour différents usages, il s’avère plus bénéfique d’employer des dispositifs appropriés.

Gyuto et santoku, les célèbres couteaux de chef japonais

Un couteau de cuisiniers japonais est reconnu pour ses capacités à effectuer diverses  possibilités de coupes dans la salle de cuisine. C’est pratiquement le cas du Gyuto et du santoku.

Gyuto : le meilleur couteau de bœuf

Considéré comme étant le véritable couteau pour découper du bœuf, le Gyuto peut également servir à découper autre chose. Avec une lame plus plate et un angle de bord de 15 à 18 °, il donne une nette précision de coupe pour émincer de la viande assez volumineuse.

Santoku, ce qui veut dire découper, trancher et hacher

Santoku se distingue par « trois fonctions », à savoir hacher, trancher et découper. Un cuisinier qualifié ou un amateur de de l’art culinaire peut absolument accomplir ces trois types d’opérations. Ce couteau de référence procure un agréable effet balancier durant son usage. Il permettra aussi bien de ciseler les herbes que de hacher les fruits et légumes sous format cubique.

Découper ses fruits et légumes en utilisant du Nakiri ou de l’Usuba

Pour la sagesse orientale, la découpe des fruits et des légumes est effectuée  soit avec un Nakiri, soit avec un Usuba. Ces deux modèles de couteaux constitués de lames d’acier damas sont fiables pour la concoction une large sélection de légumes grâce à son usage rapide et commode.

Le Nakiri et l’Usuba réalisent parfaitement la coupe sur table au moyen de sa lame plus fine comparée à la plupart des couteaux japonais. De forme rectangulaire, ils permettent de recueillir les légumes et fruits hachés vers un autre accessoire.

Couteau pour concocter du poisson : Deba ou bien Sashimi

En quête d’un bon couteau pour la cuisson du poisson ? Le Debahocho ainsi que le Sashimi resteront les couteaux japonais adéquats susceptibles de vous apporter satisfaction.

Debahocho, une coupe à lame fine

Grâce à sa lame effilée, le Deba s’utilise pour nettoyer, désosser puis sectionner avec précision la viande de poissons ayant un gabarit mesurant jusqu’à trente centimètres.

Sashimi, le vrai couteau à sushis

De forme longue, le Sashimi promet une méthode de coupe à lame rigide non flexible afin d’enlever sans effort la peau des poissons, et ce sans gaspillage. Les experts de la cuisson le manient pour concocter des sushis.

Couper ses pains grâce à un modèle de couteau denté 

Découper des pains avec netteté nécessite le maniement d’un modèle de couteau denté. On en retrouve en structure damassée, mais avec une lame damassée qui présente plus une utilisation stylique que pratique.

Acquérir son couteau de cuisine suivant son manche comme le 3 Couteaux de cuisine martelé

En plus de son utilisation, un couteau de cuisine se caractérise suivant le manche qu’il a. Evidemment, dans le domaine de la cuisine, il est mieux de prêter attention aux modèles à manche large afin d’avoir des coupes raffinées et nettes. Un manche non adéquat risque de conduire à des découpes puissantes et agressives qui ne conviennent pas à la propriété d’un outil de coupe professionnel.

Un manche confortable et pratique

Les couteaux faciles d’usage comprennent un manche compatible aussi bien pour un gaucher qu’un droitier. Ce dernier possède une structure en D avec un côté arrondi conçu pour être pris par la paume de votre main.

Le matériau du manche

Outre la forme, il importe également de tenir compte du dispositif employé pour le façonnement du manche. Dans le cas d’un couteau fait en bois, on prendra un outil de coupe en bois traité ou inaltérable. Parmi la sélection des manches metalliques, les couteaux à manche en acier inoxydable s’avèrent les plus adéquats. Le manche fabriqué en plastique apporte certainement un bon choix en termes de budget, mais il est essentiel de faire attention à choisir un modèle qui manifeste une grande résistance aux impacts.  

Pour conclure, les couteaux damas idéals à utiliser sont les modèles qui se conforment en même temps à des usages spécifiques, un portefeuille précis puis un manche confortable à tenir.